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L’ACAT-France est une organisation œcuménique et non-gouvernementale fondée en 1974 par Edith du Tertre et Hélène Engel, deux femmes révoltées par les récits de torture de la guerre du Vietnam. « Il faut que les chrétiens réagissent à la torture, en quelque lieu que ce soit, et qu’ils réagissent ensemble », leur appel a été entendu et l’association s’est développée, regroupant salariés et bénévoles. Elle est reconnue d’utilité publique et agréée éducation populaire.

 Site officiel de l'ACAT France

Un mandat en trois dates essentielles :
-     1974 - lutte pour l’abolition de la torture
-     1982 - lutte pour l’abolition universelle de la peine de mort
-     1997 - lutte pour la défense du droit d’asile
 
 
Les actions :
-     L’action par des campagnes ciblées de soutien aux victimes : appels du mois, signature de pétitions, correspondance avec des prisonniers, envoi de courriers aux personnes persécutées et emprisonnées, interpellation des autorités concernées ;
-     Le plaidoyer : publications de rapports – « Un monde tortionnaire », « Le maintien de l’ordre : à quel prix ? », « Au cœur de l’exil », etc… sans oublier l’information et la sensibilisation grâce au magazine « HUMAINS », seule revue chrétienne sur la question des Droits de l’Homme ;
-     La prière tant pour les victimes que pour les bourreaux, notamment lors de la « Nuit des Veilleurs » à l’occasion de la Journée internationale de soutien aux victimes de la torture, tous les 26 juin.
 
Un site internet dynamique ; la connectivité par les réseaux sociaux ; une chaine Youtube[1]
 
En 1987, est créée la Fédération internationale des ACAT, la FIACAT, organisation internationale non gouvernementale de défense des droits de l'homme, qui regroupe les ACAT engagées dans la lutte pour l'abolition de la torture et de la peine de mort de différents pays.[2]

[1] https://www.acatfrance.fr/ - @ACAT_FRANCE - https://www.facebook.com/search/top?q=acat%20france - https://www.youtube.com/@acat_france 
[2] https://www.fiacat.org/

Nous parlons du passé certes, du présent aussi avec un éclairage sur ce que fait l’ACAT-France dans chacune des zones géographiques où elle intervient, sur chacun des mandats de l’association, mais surtout de l’avenir ! Quels sont les nouveaux défis que l’ACAT-France devra relever ? Comment va-t-elle encourager la relève des militants actuels et donner une place à ceux qui vont faire vivre l’association ? Quelle place pour l’œcuménisme ? De quels moyens doit-elle se doter ?